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Saturday, September 04, 2010

العائد لطفي التونسي

Retour volontaire du Âïd / Retornado Lotfi Tounsi (العائد لطفي التونسي) : Chronique et leçons d’un Dénouement heureux

Par Abdel Wahab Hani

Notre ami Âïd / Retonado Lotfi Tounsi ( لطفي التونسي العائد) est enfin LIBRE et chez lui en TUNISIE, après près de deux décennies d’Exil et de privation du pays. Il célèbre le mois sacré du Ramadan à cotés de sa maman bien aimée et des siens à la Médina de Tunis
Des portails d’information de la diaspora tunisienne, à la chaîne pan arabe d’information continue Al-Jazeera, aux chancelleries, en passant par radio trottoir, des milieux de la diaspora, aux partis d’opposition, aux réseaux sionistes, aux associations de défense des Droits humains… son cas a fait couler beaucoup d’ancre, engendré beaucoup d’actions, parfois utiles et bienvenues, souvent contre-productives et totalement exagérées voire infondées. Mais il a fait couler aussi beaucoup d’espoir malintentionné de pourrissement de l’espace public, qui sont tombés à l’eau.
Nous retraçons ici, heure par heure la chronique de ce Dénouement heureux, qu’en déplaise aux tenants du clash, aux prophètes de l’apocalypse et à leurs e-auxiliaires et autres e-snipers encagoulés et e-mercenaires de la e-plume bien rétribués, par des vacances abondamment arrosées en Espagne qui font tourner la tête de plus d’un ragoteur (que nous lui attribution la définition de : finissons comme : concepteur, producteur, diffuseur et distributeur de ragots). Mais les Châteaux d’Espagne ne durent que l’espace d’une illusion, aussi ivrogne soit-elle, aussi longue soit-elle.
Jeudi 26 août 2010 :
Escale à Amman, en route vers les lieux saints de l’Islam, pour accompli les rites de la Omra (Petit pèlerinage) des dix derniers jours du mois sacré de Ramadan, avec le projet de relier Beit Al-Maqdis à Al-Quds Al-Sharif, première Qibla des musulmans à Beit-Allah Al-Haram Al-Kaabah Al-Sharifah à Makkah Al-Moukarramah, Qibla de tous les musulmans de tous les temps et de toutes les contrées. Projet conçu avec les plus hautes autorités religieuses de Al-Quds Al-Sharif, notamment Cheikh Tayssir Al-Tamimi, Juge suprême (Qadhi Qouhdhat Al-Quds) dans le but de consacrer la centralité d’Al-Quds dans la vie de tout musulman et de soutenir la résistance des Maqdissiens à l’occupation coloniale sioniste, raciale, ségrégationniste et d’épuration ethnique et religieuse.
Jeudi 26 août 2010 :
Arrestation à Amman, lors d’un routinier de police des frontières du royaume Hachémite, en exécution d’un vieux mandat d’arrêt international, délivré par les autorités tunisiennes en 1992 ;
Jeudi 26 août 2010 :
Premiers contacts avec ses amis et ses proches à Paris
Jeudi 26 août 2010 :
Alerte de ses amis à Tunis, qui suivent son dossier de près depuis le dépôt de sa demande de passeport l’été 2009, notamment son ami et Conseil Maître Si Abdelfattah Mourou, Avocat au Barreau de Tunis et l’un de ses ténors les plus respectés.
En même temps, les amis du Âïd / Retornado Lotfi alertent des services compétents du Ministère français des Affaires étrangères afin d’activer la Protection consulaire, en prévision de tout malheur d’une région difficile où tout peut arriver, notamment dans un contexte de tensions extrêmes en Jordanie, où le projet de Âïd / Retornado Lotfi Tounsi n’a pas que des défenseurs.
Vendredi étant férié au royaume Hachémite, les autorités consulaires françaises avaient promis de s’enquérir de la situation du franco-tunisien, en début de semaine, samedi ou dimanche, en fonction du bon vouloir des autorités du royaume.
Vendredi 27 août 2010 :
Contact téléphonique avec les services consulaires tunisiens à Paris, à l’initiative de Âïd / Retornado Lotfi. L’entretien est rassurant et ouvre la voie à la perspective du retour volontaire. Lotfi étant résidant à Paris et ayant déjà engagé les démarches pour l’obtention de son passeport tunisien auprès de notre Consulat à Pantin en banlieue parisienne.
Le même jour, dans le respect de la démarche de notre Âïd / Retornado Lotfi et avec son consentement, nous publiâmes une alerte détallée pour informer l’opinion et mettre en garde contre les excès et les exagérations qui en servent aucunement les intérêts de l’intéressé, ni des Âïdoun / Retornados ces compatriotes exilés qui veulent rompre l’asile et rentrer au pays, ni la cause des Droits Humains, ni les avancés démocratiques appelées de tous bords.
Samedi 28 août 2010 :
Une légitime inquiétude est exprimée par les défenseurs des Droits humains. Mais une certaine agitation politicienne exagérée et infondée bat son plein. Des appels insensés et des mensonges fusent et des ‘avocats’ autoproclamés se lancent, à Tunis et à Paris, sans aucun mandat de l’intéressé ni de sa famille, dans des constitutions virtuelles de défense, sans prendre la peine de respecter l’éthique de la profession, et ce prendre la peine de contacter l’intéressé qui était joignable toute la journée sur son téléphone cellulaire français.
Au téléphone avec ses amis, Âïd / Retornado Lotfi exprime de plus son dégoût des conditions d’incarcération nocturne au centre de Dépôt à Amman. Le jour, il était transféré au Bureau jordanien.
Dimanche 29 août 2010 :
Entretien avec le consulaire français dépêché par l’Ambassade de France à Amman, en début d’après-midi. L’entrevue est courtoise, avec une promesse de remonter le dossier à Paris, en vu de la très longue procédure judiciaire d’extradition, sans rien promettre pour autant. Tout en remerciant le représentant des autorités de son Deuxième pays, Âïd / Retornado Lotfi annonce à ses visiteurs qu’il a l’intention de rentre, volontairement, dans son Premier pays, la Tunisie. Il signe une décharge dans ce sens.
Puis à notre Âïd / Retornado Lotfi de demander aux officiels jordaniens de lui acheter son billet Aller simple vers Tunis su le premier vol direct du lendemain. Il paye les frais d’émission de son propre argent.
Au téléphone, il déclarait à notre ami Âïd / Retornado Abdeljelil Saïdi qu’il ne peut supporter l’attente d’une très longue procédure et qu’ayant engagé depuis plus d’une année les démarches pour obtention de son passeport tunisien, il était disposé à rentrer au pays, de son propre gré.
Les derniers appels qu’il a pu passer à ses amis Âïdoun / Retornados dimanche en fin de journée confirmait cette volonté.
Lundi 30 août 2010 :
Le vol Royal Jordanian Airlines quitte l’aéroport International Amman Queen-Alia à destination de l’aéroport international de Tunis-Carthage, avec à son bord notre Âïd / Retornado Lotfi. L’avion accuse un léger retard.
Dès son arrivée, des officiers de la Sûreté d’Etat l’attendaient, son procès originaire dudit mandat d’arrestation étant lié à la Sûreté de l’Etat et non à des activités pacifistes comme prétend la propagande, lors de la dérive fellaguiste du fellaguisme (pour paraphraser feu le Zaïm Habib Bourguiba), qui eut frappé le mouvement Ennahdha à la fin des années 80 et au tout début des années 90.
Selon le témoignage de notre Âïd / Retornado Lotfi, l’entretien, qui ressemble plutôt à un débriefing qu’à un interrogatoire, se déroule dans le respect et la courtoisie, sans aucune contrainte aucune.
En même temps, l’agitation battait son plein entre Paris et Tunis, où les ‘avocats’ autoproclamés et auto-constitués, sans mandat aucun et virtuellement, fallait-il le rappeler.
L’un annonçait son entretien téléphonique de Madame la Consul de France à Amman qui se foutait de sa gueule en lui démontrant gentiment et diplomatiquement qu’il avait faux et qu’il était à coté de la plaque en exigeant, virtuellement, le retour en France de son ‘mandant’ alors que ce dernier confirmait, réellement et en chair et en os, sa volonté de Rentrer en Tunisie, son pays. Quelle crédibilité un consulaire français, une ONG de Défense des Droits humains ou un média qui se respecte peuvent-il donner , à l’avenir, à ce type d’affairiste marchand de malheurs sans scrupule, vaguement converti sur le tard au militantisme.
La seconde annonçait, mensongèrement, à Tunis, une procédure de « rapatriement » en France, prétendument engagée par la famille. Maître Mohamed Nouri, Avocat chevronné au Barreau de Tunis est pris au piège et laisse figurer sa signature en bas d’un texte insensé et totalement décalé par rapport à la réalité de la situation de l’intéressé.
Mardi 31 août 2010 :
Âïd / Retornado Lotfi est conduit très tôt aux locaux du Palais de Justice, pour y être présenté à un Juge d’Instruction, suivant la procédure habituelle, la mise en liberté n’est pas du ressort de la police mais de la justice. Il est reçu en fin de la séance unique et est resté près de deux heures, avant d’obtenir une Ordonnance de mise en liberté, en attente de la procédure judiciaire d’opposition aux jugements qui le frappent par contumace.
Peu avant 16h00 heure de Tunis, il est enfin LIBRE et rentre chez lui, son chez lui étant Tunis et non Paris, comme certains feignent l’ignorer. La joie fut grande et les retrouvailles émouvantes à Maaqal Al-Zaïm, la Résidence du leader (quartier où résidait feu le Zaïm Habib Bourguiba, comme un clin d’œil à celui qui fustigea la maladie du fellaguisme qui s’était emparé de l’esprit de plusieurs mouvements politiques arabes.
Mise en ligne du téléphone cellulaire et de l’adresse de Âïd / Retornado Lotfi. Les visiteurs présentent leurs marques d’affection à la famille et à son Âïd / Retornado.
A Paris comme à Tunis, le mensonge de l’exagération est tombé à l’eau et les projets de l’instrumentalisation politicienne d’une terrible épreuve humaine sont revenus en boomerangs à la figure de leurs initiateurs. Ainsi, ce qui a été conçu comme un coup médiatique de dénonciation extrême est devenu un contre-coup, laissant ainsi des traces indélébiles quant à la Crédibilité , à la Loyauté et à l’Ethique des uns et des autres.
Mercredi 1er septembre :
Les premières ripostes anti-Âïdoun / Retornados sont colportés par Radio trottoir dans les milieux de la diaspora, mais l’attaque la plus audible est lancé depuis l’Espagne, où les châteaux illusoires continuent à aveugler plus d’un depuis des siècles. Je n’y peux rien, personne n’y peut rien, c’est une malédiction des dieux habitants les lieux.
Nous reviendrons, dans une autre occasion, si le temps, nos obligations et nos actions en faveur de la réforme nous le permettent, au déluge de mensonges, d’insultes, de ragots et d’Intox dont les mauvais esprits habitants lesdits châteaux d’Espagne ont pris habitude et y ont signé un bail éternel.
Contrairement aux sirènes de la haine qui ont sifflé tout au long du week end, Âïd / Retornado Lotfi est donc de RETOUR VOLONTAIRE en TUNISIE. Il est LIBRE dans son pays.
Mardi 2 septembre 2010 :
Une deuxième riposte d’une extrême violence signé ledit avocat autoproclamé, nous accusant de charlatanisme, nous donnant ainsi l’occasion de revenir succinctement sur le terme d’Avocat charlatan et de Maître chanteur, définissant le cas d’espèce.
L’avocat charlatan, et nous venons de nommer Slim Ben Hmidan, jeuhe avocat inscrit au Barreau de Paris, manquant d’humilité à son stade de débutant tout juste à la sortie de son stage dans la profession. L’avocature (terme cher à notre ami Maîre, pour de vrai, Mohamed Néjib Hosni, avocat au Barreau de Tunis) n’est pas un diplôme, n’est pas un stage, c’est un métier qui s’apprend et se perfectionne tous les jours.
Et l’avocature est une profession, régie par une déontologie, notamment en matière de la phase de constitution de la défense.
Primo :
Elle interdit le fantasme des constitutions virtuelles sans Pouvoir rempli en bonne et due forme prouvant l’acte de constitution par lequel le mandant donne Pouvoir à son Conseil pour accomplir se Défense. C’est un papier et non une parole en l’air, à croire sur simple parole.
Secundo :
L’éthique de l’avocature interdit le racolage et le harcèlement des proches de l’intéressé pour arracher un ‘oui’ du bout des lèvres au bout d’une line de téléphone, par des moments de stress et de souci.
Ces deux conditions n’ont pas été respectées. Pire encore, la volonté de l’Intéressé n’a pas été respectée. Nous mettons au défit l’avocat charlatan de Paris et la jeune avocate, frais émoulue de l’association Liberté Equité, de contredire la stratégie de défense adoptée par notre ami Âïd / Retornado Lotfi, dès les premières heures de son arrestation et consistait à chercher une solution de Retour en Tunisie.
Tertio :
Lorsque le Consulaire vous répond au nez : « Maître, votre mandant que vous dites représentez ses intérêts, en demandant son rapatriement en France par risque d’un renvoi forcé en Tunisie, où il serait selon vous dire objet à des risques de torture, a bel et bien été visité par nos services. Je dois vous annoncer, Maître, que l’intéressé a expressément exprimé son souhait de rentrer chez lui en Tunisie, confient dans le dénouement digne et rapide de sa situation ». Face à ce camouflet, tout Avocat, digne de ce nom, et qui comprend le français et les subtilités de la langue française, notamment celle des diplomates, doit comprendre qu’il s’agit d’une giffle.
En gros et dans le langage des petits épiciers djerbiens : « Vous n’êtes pas sérieux, Maître », sans préciser si Maître renvoi à ‘Avocat Charlatan’ ou à ‘Maître chanteur’.
Quarto :
Comment un Avocat respecté peut-il écrire, dans un communiqué non signé qui évoque sa propre action concernant une ‘action’, somme toute virtuelle, en cour, que son Mandant a été Déporté (Tamma Tahjirouhou), alors que l’avocature set la profession de la procédure. Et il n’y a jamais eu de Déportation, ni de fait sans Décret, ni de Droit par Décret, tout simplement parce que ladite peine est prescrite par le législateur tunisien, et ce pour deux raisons :
1-Le bannissement de la peine de Déportation, de Bannissement et d’Eloignement par grand nombre de Nation dont la Notre , après la barbarie de la seconde guerre mondiale. La Déportation et le Bannisssment (Attahjir, Al-Ibaad) est d’ailleurs un Crime Contre l’Humanité, au regard du Droit international des Droits de l’Homme . Et tout avocat doit être sérieux et attentif à l’usage des mots qu’il utilise et qu’il pèse.
2- Le respect de la mémoire du mouvement nationale où nos aïeuls furent violement Déportés et Eloigné par les pouvoirs militaire de l’occupation coloniale française, comme l’a très judicieusement remarqué Si Béchir Takkari, Avocat, Magistrat et Académicien du Droit, notre ancien Ministre de la Justice et des Droits de l’homme, dans l’enceinte des deux Chambres du Parlement de la Nation. Et qu’aucun gouvernement ne l’a pratique depuis l’Indépendance, comme nous l’avons souligne dans notre étude-cadre de septembre 2009 et notre Appel du 3 Novembre de la même année. Certes le terme de mouhajjarine ne choque personne au Liban o`l’Avocat charlatan a fait ses études de droit, mais il choque notre Mémoire collective, il choque notre conscience, il insulte notre Intelligence. Il ne faut qu’éterniser la souffrance des Exilés.
Quinto :
La cohérence de notre Avocat chanter qui fait défaut, est consultable facilement par out un chacun qui a dix minutes de temps à perdre pour comprendre comment l’usage de l’arabe et du français, ne serait ce que pour qualifier la situation de son prétendu ‘mandant, de Mouhajjar (Déporté) en arabe et de ‘réfugié politique’ en français, en dit long sur un état d’esprit des plus tordus de la diaspora.
Sexto :
Le Maître chanteur nous dit ensuite que l’Initiative AIDOUN RETORNADOS est une tache noire dans la mémoire de l’asile tunisien. Et la mémoire de ‘asile tunisien saura dire qui était et qui est le militant Abdel Wahab Hani et qui est l’affairiste Slim Ben Hmidane. En témoigne juste un petit rappel de l’histoire, d’un certain matin de juillet 1997 où le premier, notre modeste personne, appela le second, le Maître chanteur, pour lui annoncer l’accord de son statut de réfugié. Tout simplement, parce que nous faisons le siège de l’OFPRA, deux fois par semaine. En témoigne, les centaines de nos compatriotes Demandeurs d’asile que nous avions accompagnés à l’OFPRA, aux autres pays, devant le Tribunaux, dans les zones de transit des aéroports français où ils étaient détenus, Lillah Fi Sabil Allah.
Septimo :
Nous faisons le siège, comme l’a bien reconnu le Ragot-journaliste Bagga, des consulats et Ambassades pour assurer le retour digne de ceux que nous avions défendu, pendant que Maitre-Chanteur Ben Hmidane vaquait a la constitution de son patrimoine.
La Nouridou Minkom Jazaan Wa La Choukouran. Mais nous ne voulons pas non plus d’ingratitude et des ingras.
Octavo :
Pourquoi les deux poids deux mesures, pourquoi personne n’ouvre la bouche lorsque le Aamel de Nahdha caid du Royaume de Grande Bretagne, d’Irlande du Nord et des territoires du Commenwolth, Ali Kerdi prenne attache avec l’Ambassade a Londres et rentre sans encombres. Pourquoi les contacts officiels de Ahmed Gaaloul avec les services de l’Ambassade, l’obtention de son passeport et son retour n’ont pas fait réagir ni l’Avocat-Charlatan ni le Ragot-Journalistes ni les têtes bien pensantes nous dit-on de la diaspora. Pourquoi la corruption avérée d’un fonctionnaire Akkari, de Zarzis, membre du Comite central du RCD a Paris par un membre de l’état Major d’Ennahdha a Paris, originaire de la même ville, pour l’obtention du passeport de son fils, nécessitant une enquête de l’inspection consulaire et le rappel dudit Attache scientifique a Tunis, mais surtout le durcissement des conditions d’obtention des passeports, n’a pas été relaye par le ragot-journaliste dont les nouvelles du Consulat semble lui parvenir, avec une très grosse déformation et au détail trompeur, mais aussi révélateur prés.
Nono :
Quant a la reunion de Geneve, notre position est connue depuis longtemps. Lorsque vous entendez Rached Khriji (alias Rached Ghannouchi, je suis désolé, j’appelle les gens par leur nom d’état civil et non par les pseudos et autres alias et chouhira) vomir sa haine et ses discours de non sens insultant toutes les luttes des défenseurs des droits humains pour libérer les siens, l’entendre dire que tout ce la ne sert a rien… Lorsque ladite association mort-né portant le germe de l’incohérence entre son arabe Mouhajjaroun/Déportés et latin Exiles et restant inactive et vivant dans une spirale implosive interne…
Decimo :
Doit-on prendre l’autorisation de quiconque pour lancer une Initiative que l’on croit Juste, Utile et Nécessaire au soulagement d’une souffrance qui n’a que trop duré.
Undecimo :
L’avocat-Charlatan et le Ragot-Journaliste sont hantes semble-t-il par notre Initiative qui a accompagne le Retour de nombre des nos compatriotes Aidoun / Retornados. Ce qui est en soi une attestation de réussite de l’Initiative AIDOUN RETRNADOS qui a permis de dépolitiser la revendication, d’affranchir nos compatriotes des chaines partisanes d’un autre âge de nationalisation stalinienne de l’Etre, faire bouger les lignes stériles et ouvrir des brèches sur la voix des reformes attendues par notre peuple.
Duodécimo :
La Cohérence, la cohérence, la cohérence, la crédibilité, la crédibilité, la crédibilité, la cohérence, la cohérence, la cohérence, entre ce qu’on écrit de révolutionnaire sur le net et ce qu’on dit de mesquin a la télé ; entre le jour et la nuit, l’arabe et le français, le dit public et le di prive, les hurlements insensés d’insultes a l’endroit du Chef de l’Etat et ce que l’Avocat-Charlatan lui écrit en cachette…
Pour les autres griefs indignes et la défense de la dérive affairiste et clientéliste de son port politique et familial d’attache, l’avocat charlatan n’aura fait que ce lui dicté son mouvement, en pleine déroute et en pleine faillite morale, la pire des fins qu’un parti peut avoir, malgré son feu de pailles, ses paillettes et ses pétrodollars.
Mais nous y reviendrons, plus en détail, sur le parti de la haine continue son entreprise indigne et immorale..
Qui a gagné lors de ce week-end?
Loin de tout esprit de compétition, nous pouvons dire que c’est l’intéressé lui même qui a gagné, sa famille, se proches, ses amis, sans doute ; le régime en place, certes ; mais c’est surtout la Tunisie qui a gagné.
Une Tunisie Une pour Unie pour Toutes et pour Tous. Une Tunisie qui sait apaiser les tensions, qui sait tourner les pages douloureuses de son histoire, douloureuse des victimes des deux bords.
Une Tunisie qui se définie comme NATION, et non comme déchirure entre pouvoir d’un coté et oppositions de l’autre, comme si nous autres le PEUPLE n’existions pas.
Une Tunisie de la Citoyenneté , où RENTRER au pays est un des droits les plus élémentaires, qui ne peut faire l’objet d’interférence ni des partis rigides vivant sur le modèle stalinien de la nationalisation de l’Etre (الذَّات تأميم), ni d’un quelconque service dépositaire de l’autorité publique, beaucoup moins d’u ragot-journaliste ou d’un sniper encagoulé de l’Etat major d’un parti en déroute et en faillite morale chronique et désespéré.
Les leçons de Dénouement heureux :
Les premiers renseignement sont le courage, le patriotisme et le sens de la mesure.
Nous répétons par l’occasion ce que nous avions écrit le jour de la libération de notre ami Âïd / Retornado Lotfi Tounsi:
Certes, les associations de défense des Droits humains sont dans leur droit de s’inquiéter, d’alerter les autorités et l’opinion, mais elles ont l’obligation de le faire, primo : dans le respect de la victime et avec son accord et non contre sa volonté ; secondo : dans la juste qualification des faits et sans exagération ; tertio : dans la volonté de soulager la souffrance de la victime et du recouvrement de ses droits et loin de toute surenchère politicienne.
Tout en saluant l’effervescence de la scène associative et la multiplication des initiatives citoyennes de défense des Droits humains, nous ne pouvons que regretter les écarts de langage et condamner les dérapages politiciens, qui ne servent aucunement la cause des victimes, ni celle du combat universel pour la consécration de Tous les Droits pour Tous.
Les militants-du-dernier-quart-d’heure et les Moudjahidin-de-1961 qui pullulent, le virtuel aidant, notamment dans la disapora, après avoir construit villas et situation, réelle, de rêve matériel et immoral sur le dos des victimes et de la cause, doivent respecter les Victimes et ne pas s’en servir de leurs souffrances pour rattraper un retard de preuves de militance ou soigner un curriculum vitae vaguement militant et profondément mercantile et affairiste.
Un jour très proche Inchallah :
Âïd / Retornado Lotfi obtient son passeport national tunisien et recouvre son droit de circuler librement de et vers son pays la Tunisie , dans les plus brefs délais inchallah,
Âïdoun / Retornados obtiennent tous leur passeport national tunisien, retrouvent leur Familles et la Patrie et se réunissent inchallah sur sa noble terre pour engager une démarche constructive d’apporter leur contribution à l’essor et au développement de la Nation.
Avons nous, Pouvoir, Oppositions et Indépendants, le courage de quitter la prison intellectuelle de 1991-1992… Nous continuons à le souhaiter et à oeuvrer pour notre libération collective, en tant que Nation, des démons du passé... Que Allah le Tout puissant nous y aide en ce début des dix dernières nuits du mois béni de Ramadhan Al-Moubarak.
Pour rendre visite à Âïd / Retornado Lotfi Tounsi à Tunis:
-6, Rue de la Vérité (نهج الحقيقة), Impasse Ben Massaouda (زنقة بن مسعودة), Maaqal Al Zaïm (معقل الزعيم), à Tunis-Médina,
-Tél : +216 20 191 185 begin_of_the_skype_highlighting +216 20 191 185 end_of_the_skype_highlighting (et non 195 comme écrit précédemment, nos sincères excuses à notre compatriote porteur / euse du numéro inscrit par erreur, sous l'emprise de la joie)

اللهم اصرف عنه كل سوء ومكروه ..اللهم أعده إلى أهله سالما غانما معافى وقر به عين والدته

Paris, Genève, Jiddah, Makkah Al-Moukarramah, le 3 septembre 2010
Âïd / Retonado Bi Idhni Allah, Ahabba Al Mouhibboun Wa Kariha Al Karihoun
Abdel Wahab Hani
7145 jours : soit 19 ans, 6 mois et 24 jours, d’Exil et de Privation du Pays ;
411 jours : soit 1 an, 1 mois et 15 jours, d’Attente du Passeport national tunisien;
3652 jours : soit 10 ans, de Privation des voix du pays via l’opérateur étatique Tunisie Telecom ;
تَحْيَى تُونِس
تَحْيَى الجُمْهُورِيَّة
العائِد بإذن الله تعالى، أحبَّ المُحِبُّون وكَرِهَ الكارِهون
عبد الوهَّاب الهاني
awhani@yahoo.fr
+00 33 6 17 96 37 (en repos pendant 10 jours au Haram a Makkah Al Mukarramah)

1 comment:

Anonymous said...

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